Pour apporter du piquant à un plat, rien de tel qu’un piment. Mais attention ! Il faut savoir doser correctement la quantité de piquants que vous souhaitez y ajouter. Si vous en ajoutez trop, cela ne va pas beaucoup plaire aux invités. Si vous en mettez trop peu, cette touche de piquant deviendra insignifiante, voire sans intérêt. Cependant, il ne faut pas oublier que ce dosage dépend surtout de la variété de piment utilisé dans vos recettes. Vous avez fini votre recolte piment. Reste plus qu’à savoir comment les cuisiner?
L’utilisation la plus classique : sécher les piments
Il y a divers moyens de cuisiner du piment. Mais le plus classique reste : sécher naturellement le condiment. Même s’il a été déshydraté, il garde toujours son goût unique et piquant. Sécher les piments est, d’ailleurs, une bonne technique de conservation de ce condiment. Sous cette forme, vous pouvez l’incorporer à une préparation qui sera cuite. Mais là encore, vous devrez rester sur vos gardes. Il faut bien contrôler les proportions ajoutées.
Pourquoi ne pas en faire de la purée ?
Il est également possible de transformer les piments en purée. Il suffit de les plier. Sous cette forme, il peut prendre l’apparence de condiment de table. Une alternative plutôt utile pour ajouter une touche d’explosif aux légumes, aux salades, aux viandes ou aux soupes.
Existe-t-il d’autres possibilités de transformation ?
Il existe un nombre incalculable de possibilités de transformation du piment. Les différentes sortes de transformation sont, même parfois, issues des traditions d’un pays. Pour le cas des Indiens, le condiment est cuisiné à partir de mangues ou de fruits. Celle qui est présente, presque partout, est la transformation du piment en sauce. Ainsi, vous pouvez, par exemple, percevoir des chilis faits de piments rouges, sur les tables d’un restaurant.
